Le gendre idéal du poker. Bien élevé, humble, doux, talentueux et riche, John Juanda est un peu le prince charmant des casinos.
En 1990, l’Indonésien débarque aux Etats-Unis pour étudier et apprend l’anglais en observant les gens. Une méthode qui fait de lui un des meilleurs lecteurs de jeu.
Dès ses débuts, il se lie d’amitié avec Negreanu, Ivey et Cunningham. Au sein de ce groupe « Papa John » est le joueur calme, stable et constant qui donne des leçons aux autres. Un vrai gestionnaire qui perd peu et gagne beaucoup, dont notamment 5 bracelets WSOP.